Qui-sommes nous ?

ALAMUT Editions, c'est d'abord une maison d'édition.

Notre ADN, c'est la littérature de l'imaginaire. Ou plutôt, la littérature des imaginaires. Fantastique, Science-fiction, Fantasy, Contes, pour commencer. Mais nous n'aurons pas peur d'élargir ce spectre quitte à nous aventurer parfois au-delà de l'imaginaire.

C'est aussi le numérique, car il permet de proposer à des coûts très abordables, tant pour celui qui fabrique que pour celui qui lit, l'accès à des œuvres très variées, même si elles restent confidentielles. Il nous permet donc d'expérimenter des choses qui seraient difficilement envisageables de façon traditionnelle.

Ensuite, ALAMUT Editions, c'est une librairie en ligne.

Autre point important que nous revendiquons : nous sommes petits. Et parce que la taille, c'est important, nous souhaitons le rester afin d'offrir aux auteurs que nous publions une relation de proximité et des conditions privilégiées pour le développement de leur œuvre. 

Enfin, nous voulons créer des rencontres entre des illustrateurs, des artistes et des auteurs. Alors nous allons travailler sur des projets éditoriaux originaux pour les soumettre au choix de nos futurs lecteurs à travers un système de crowdfunding.

Pourquoi ALAMUT ?

Alamut, c'est le nom de cette citadelle de la Perse médiévale dont la secte des Ismaéliens avait fait son quartier général au XIème siècle.

La légende dit que leur chef suprême, le « Vieux de la montagne » Hassan Ibn Sabbah, transformait ses hommes en combattants ne connaissant pas la peur et capables d’exploits surhumains. Pour cela, il utilisait le haschich, qui lui a donné son nom de « secte des Haschischins », et qui a donné en français le mot « Assassin ».

En 1938, l’écrivain Vladimir Bartol a publié le roman « ALAMUT » dans lequel il raconte l’aventure épique de ces combattants, et les ruses machiavéliques d’Hassan Ibn Sabbah. Pour donner une foi inébranlable à ses hommes, il les droguait et les faisait transporter dans un jardin merveilleux qu'il avait reconstitué. Là, un harem de jeunes femmes sublimes leur promettait des délices sans fin. Une fois revenus de leur songe, pressés d'y retourner, ces combattants étaient prêts à tous les exploits et au sacrifice ultime.

Vieille de 1000 ans, cette histoire continue d’exciter l’imaginaire. Plus récemment, elle a inspiré la série de jeux vidéo « Assassin’s Creed ».

Au sujet d’Alamut, l’histoire et la légende s’entremêlent.

Et c’est tout l’objet de ce qui nous inspire. L’imaginaire n’est jamais plus puissant que lorsqu’il trouve son ancrage dans la réalité.